Soirée du 22 janvier 2010: bilan et « bouteille d’exception »
Par Jean-Michel le mercredi 10 février 2010, 07:26 - Dégustation - Lien permanent
La troisième saison se termine et il est temps de faire un petit bilan de cet exercice :
- 8 soirées dont notre repas et la sortie au mois d’avril au Whisky Live à Marseille.
- 26 whiskies dégustés:14 écossais, 3 irlandais, 3 américains, 2 japonais, 4 autres (gallois, anglais, indien et néo zélandais).
- Le lancement de l’opération « Un fût pour Riquet »
- 8 soirées dont notre repas et la sortie au mois d’avril au Whisky Live à Marseille.
- 26 whiskies dégustés:14 écossais, 3 irlandais, 3 américains, 2 japonais, 4 autres (gallois, anglais, indien et néo zélandais).
- Le lancement de l’opération « Un fût pour Riquet »
Glenlivet 1965/2007 (46%, Gordon & MacPhail, cask #6733)
Derrière une simplicité d’accès et un charme qui peuvent paraître au premier abord surannés, se cache en réalité une réelle complexité. Un single malt de haute lignée mis en bouteille par un maître en la matière, le négociant Gordon & MacPhail !
Couleur : vieil or à reflets légèrement ambrés.
Nez : à la fois fin et opulent. Il est marqué par une belle acidité qui lui permet de s’ouvrir avec précision sur les fruits de la passion et la banane. Au fur et à mesure poudré, il évolue sur l’iris, l’oeillet et sur des notes plus exubérantes de graine de moutarde.
Bouche : fraîche, gourmande. Elle reprend le registre fruité-floral du nez avec en plus la pêche, la poire mûre et le mimosa. Elle se développe sur le cumin et sur de juteuses notes de mandarine et d’orange.
Finale : longue, suave, vanillée et crémeuse. Evoque un gâteau de semoule et son caramel. Elle se prolonge sur la noix de coco et des notes de chêne pleines de noblesse.
J’ai bien senti que certains sont restés un peu sur leur fin et que la surprise n’a pas été aussi forte qu’avec le Port Ellen. Mais ici pas de puissance, pas de tourbe, plutôt un voyage dans le temps à travers le Speyside ( 42 ans de bouteille, cela assagit et arrondi !)
La cotisation pour la nouvelle saison reste à 75 euros et nous démarrerons le vendredi 19 février à 20h30 exceptionnellement.
Derrière une simplicité d’accès et un charme qui peuvent paraître au premier abord surannés, se cache en réalité une réelle complexité. Un single malt de haute lignée mis en bouteille par un maître en la matière, le négociant Gordon & MacPhail !
Couleur : vieil or à reflets légèrement ambrés.
Nez : à la fois fin et opulent. Il est marqué par une belle acidité qui lui permet de s’ouvrir avec précision sur les fruits de la passion et la banane. Au fur et à mesure poudré, il évolue sur l’iris, l’oeillet et sur des notes plus exubérantes de graine de moutarde.
Bouche : fraîche, gourmande. Elle reprend le registre fruité-floral du nez avec en plus la pêche, la poire mûre et le mimosa. Elle se développe sur le cumin et sur de juteuses notes de mandarine et d’orange.
Finale : longue, suave, vanillée et crémeuse. Evoque un gâteau de semoule et son caramel. Elle se prolonge sur la noix de coco et des notes de chêne pleines de noblesse.
J’ai bien senti que certains sont restés un peu sur leur fin et que la surprise n’a pas été aussi forte qu’avec le Port Ellen. Mais ici pas de puissance, pas de tourbe, plutôt un voyage dans le temps à travers le Speyside ( 42 ans de bouteille, cela assagit et arrondi !)
La cotisation pour la nouvelle saison reste à 75 euros et nous démarrerons le vendredi 19 février à 20h30 exceptionnellement.